Le refuge ^_^
 
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Le refuge ^_^ Index du Forum La cave qui fait peur vous vous souvenez? (attention roman vintage)
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Lun Juil 25, 2011 8:18
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Alphonse, la marmotte qui défonce !
Ca y est j'suis mort de rire écroulé par terre ! Laughing Laughing Laughing

Bah on attends la truite maintenant !
Heu non la suite... Razz
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"Tout le monde est le bienvenu ici.
Même ceux échoués par hasard en ayant recherchés la recette des nouilles au beurre !
Voir ceux que Google aurait dirigé par chez nous croyant trouver le secret de la longévité des palourdes."

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Lun Juil 25, 2011 10:31
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en relisant, je me dis que je dois vraiment avoir l'esprit complètement corrompu...
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C'est en potant qu'on devient potiron

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Lun Juil 25, 2011 11:12
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Boarf... Si tu pouvais voir le mien... Embarassed Crying or Very sad
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Mar Juil 26, 2011 7:06
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Nous emboîtons (pour les vicelards, j’utilise ici et pour une fois ce verbe à bon escient) donc le pas à toutes ces vaches qui nous ont visiblement (et odoriféramment) précédées depuis tant et tant d’année au cours de leur lente, mais sûre transhumance. Le chemin est dur, il grimpe sévèrement. Notre souffle se raccourcit donc et nous nous mettons à haleter comme les gros porcs suants et suintants que nous sommes, tant l’habitude de l’effort que nous avons pris au bureau sous la clim’ est grande. Bref nous montons. Au cours des trois premières heures de notre lente ascension, nous ne remarquons rien de bien plus extraordinaire que susditement décrit, à savoir des sentiers qui sentent, des collines qui collinent, des fleurs qui fleurent, des moustiques qui m’hou !! c’te tique !! (oui, bon, nous n’avons pas d’autre explication !cf. Eric et Ramzy qui se reconnaitront et m’enverront des billets gratuits pour leurs spectacles sous deux jours…) et des marmottes qui niquent (mais ça, on le savait déjà)… Bref, à part la sueur qui me coule dans les yeux et vient piquer mes mucoses (si si, ça existes), non par la salinité de l’urée contenue dans mes exsudations, mais plutôt dans le Ricard d’hier soir et me gêne ainsi, me faisant percevoir d’étranges images… Il me semble en effet apercevoir une transformation dans le paysage… J’ai l’impression d’apercevoir des angles moins naturels au sommet de la montagne, des formes plus géométriques (quoiqu’irrationnelles). D’un mouvement circulaire (CTRL S pour wordie. Au fait Wordie, ça va toujours ? Oh oui gros coquin, tape encore !! Ah oui, j’avais oublié de vous le dire, wordie est maso : il aime qu’on tape !) du poignet, vous avez vu comme je le fais bien, j’essuie donc cette poisseuse onde qui recouvre mon délicat front blanc et parfumé (enfin, avant que je sue, parce que quand je sue, je pue, et quand je pue, ma mère me rentre…) et porte à nouveau mon regard vers ces formes que je vois là-haut… En effet, je n’ai pas la berlue, je ne suis pas en train de perdre la raison, mais bien en train d’apercevoir des formes artificielles. La main de l’homme aurait-elle mis le pieds dans le coin ?

Le vent soufflant vers ces formes d’altitude nous empêche d’ouïr (j’ouis, tu ouis il ouit… L’oie ouit-elle Louis l’ouir jouir ? Moui !) quelque bruit que ce fut…

- « OH !!! T’AVANCE, OU T’ATTENDS QUE LA MAREE MONTE JUSQUE LA ? »

- Pardon ?

- Ouais, y en a qui bossent, putain d’bordel !

- Mais qui êtes-vous maraud, faquin ?

- Mphhhh !! Nan mais vraiment, t’as d’la merde dans les yeux ? T’as pas bien r’gardé ?

Une personne étrange nous fait face. Ce n’est pas un animal, mais ce n’est certainement pas un humain non plus… On pourrait le décrire comme étant le mélange chaotique de la dégénérescence de Gollum croisé avec Nicolas Sarkozy et Venus Williams. Un peu du sperme de Demis Roussos serait venu se perde dans le tube que ça ne serait pas non plus trop étonnant… Il s’agit d’un être d’environ 80 centimètres de haut, se tenant sur deux jambes grêles et difformes. Au dessus de ses pieds difformes et chaussés de patates, ses mollets poilus et triangulaires sont de la teinte verdâtre d’une courgette ayant passé trois semaine dans le tiroir du bas du frigo de madame Claude. Dotée de cuisses massives et massivement découvertes élégamment habillées de croûtes purulentes (CTRL S pour W… TA GUEULE ET ECRIS !!!! Oh Bon, ça va, on est pas aux pièces !!) et suppuriférantes, l’étrange erreur de la nature qui se présente devant nous ne s’arrête pas à ses cuisses. Le milieu et le haut du corps sont plus étranges encore… Les hanches déséquilibrées et bancales (pléonasme ! (NDRQADFHCCAFDVADFDS (Note Du Relecteur Qui A Déjà Fait Huit Crises Cardiaques A Force De Voir Autant De Fautes De Syntaxe)) sont épaisses, noueuses et odorantes, puisque contenant une aine (c’est une ? Ouais arrête, je vais gerber… Ben nan, ça devient à peine marrant… Ugghh ! Tiens, le jus d’orange de ce matin…) visiblement peu habitée d’appareil reproductifs et excrémentatoires, mais en tout cas, petits, mais costauds !! Il est indéniable que la place est occupée, depuis longtemps, et qu’elle n’a pas été aérée depuis bien des mois, voire des années (UUUGGGHHHHH !!!! Tiens ! La chocolatine de ce matin… )…
Un torse torse recouvert d’une épaisse toison rousse dans laquelle pendent aussi des restes de petits déjeuner et d’autres repas plus substanciels visiblement, nourrissant une dense population d’insectes que l’on pourrait croire domestiques tant leur organisation pilliphage est structurée). De musculature inexistante, ce torse se termine par des épaules étroites et hirsutes qui semblent n’être pas même capables de supporter le poids d’un cadavre à planquer, même petit. Ces épaules donnent naissance à deux (oui oui, deux) longs bras : les biceps fins comme des bouts de ficelle à rôti et les avants bras gros comme des rôtis… Alors la ficelle d’un côté, la barbaque de l’autre, le tout donnant une impression toute gorillesque, d’autant plus que les mains sont noires, couvertes d’écailles et terminées par d’épais ongles jaune pisseux sous lesquels se trouve une épaisse couche de matière fécale, la propriété numéro deux (on verra la un plus tard) de ces êtres étant de se gratter le c*l à longueur de journée en tirant des louises bien grasses afin d’améliorer le « tirage ».

La cerise sur le gâteau, s’il est possible de s’exprimer ainsi, mais on peut aussi bien dire le coup de fusil final, ou la bombe à bouse terminale, c’est l’appendice céphalique de la créature. Il s’agit en effet d’une tête en triangle inversé : on pourrait aussi dire tête d’enclume, ou encore repose bière, bien que cette attribut serait plus appliqué à la population féminine de la catégorie (si si, il y en a, cf. la femme parfaite). Triangle inversé donc, se terminant logiquement par un menton en pointe, recouvert de poils drus et bicolores : jaune et vert en stries verticales ondulantes. Un sourire torve habite ce visage, faisant largement penser à toutes les chimères pouvant habiter le pauvre cerveau maigre et rachitique qui habite ce crâne en forme de joint de cannabis. Des yeux respirant la perversion, des oreilles en chou-fleur largement décollé (fallait bien que je rende un dernier hommage à mon grand patron qui s’est fait virer récemment, non ? )Wordie ? ouais, c’est sauvé ! Merki !

« Qu’est-ce t’as ? Tu veux ma photo ? »

Ah oui, le caractère maintenant… Que le lecteur nous pardonne cette longueur dans la description, mais il est vrai que nous avons besoin de décrire longuement ce personnage qui est pour beaucoup dans l’existence et le fonctionnement du refuge, que nous allons certainement bientôt découvrir (parce que visiblement si je fais durer le suspense plus longtemps, je risque d’en prendre plein la gueule heuuu, la figure !). Donc si le lecteur n’est pas content, la rédaction lui suggère aimablement d’aller dans un salon spécialisé se faire intromettre une forme phallique dans l’orifice anal, n’oubliant surtout pas d’y adjoindre au préalable une large dose de silice et de minéraux divers afin d’améliorer la fluidité du mouvement et d’intensifier le ressenti orgasmique de cette manœuvre. Cela dit, la maison déclare décliner toute responsabilité en cas d’épisiotomie rectale.

Donc, le caractère de cet être naniforme… D’un naturel particulièrement acariâtre, il est naturellement haineux, pervers, obsédé sexuel, cela se traduisant par des frottements pubiens à toute forme pouvant rappeler, de près ou de loin un orifice. De tendance poltronne et malveillante, il n’hésite pas à faire des tours pendables et à en accuser ses congénères voire ses maîtres, ce qui confirme son trait de caractère numéro un : la fourberie. Nul habitant du refuge n’a pu oublier ce facétieux tour qui fut joué à l’un de ses habitants récemment et dont la vallée et toute la campagne environnante, jusqu’à Ouagadougou se souviennent : L’amusant petit personnage, soi-disant à la demande d’un des membres de la plus illustre des confréries de cet endroit d’altitude (mais nous en reparlerons plus tard) avait habilement déposé un filet de super glue III sur le rebord de la cuvette des toilettes.
Ce qui devait arriva.
Une personne pressée entra dans ce lieu d’aisances, défit la partie postérieure de son costume, déposa son auguste mais néanmoins ravissant fessier sur le rebord, fit ce qu’il avait à faire, consulta au passage pour la quatre vingt quatorzième fois la brochure des horaires des trains partant de Katmandou et se rendant à Kuala-Lumpur (parce que peu importe ce que t’as à lire au gogues, tu le liras quand même), puis ayant terminé, tenta un rétablissement vertical qui se solda par une sourde douleur à l’endroit le plus méridional de sa personne, provoquant ainsi un étonnement et aussi une certaine forme de panique. S’en suivit (mais je vous passe les détails) un horrible hurlement et des manipulations logistiques épuisantes. Les techniciens chevronnés réussirent néanmoins à désolidariser la cuvette du bloc toilettes, ce qui évita à l’infortuné de se balader avec un bloc WC collé au derrière, mais seulement une lunette de toilettes en faux marbre… Bref, le coupable fut désigné (il avait laissé négligemment choir un demi kilo de poils pubiens en se frottant au trou de la serrure), mais nia toute forme de responsabilité, reportant la faute sur l’un de ses commanditaires, un membre illustre de la confrérie étrange des « Cavistes » (que nous décrirons plus amplement dans les lignes suivantes de ce récit ) n’ayant qu’un rapport éloigné et de consommation massive avec l’œnologie ou la vinification.

- « Bon, quand t’auras fini de raconter tes conneries, tu pourras pet-être dégager le passage, tu vois pas que j’ai une affaire urgente entre les mains là ?

- Entre les mains ?

- Oui, bon, pas tout à fait, mais heu… Oh et puis le touriste là, y va pas faire ch…, y va se ranger, sinon, je lui fous une rouste, épais !!

- Pardon mon bon, mais justement, nous cherchions une âme charitable…

- C’est quoi charitable, passque si y a un truc a signer chais pas écrire…

- Nenni mon bon, nous aurions juste besoin d’un guide pour nous diriger vers cet endroit légendaire que personne encore n’a découvert et que l’on appelle le Refuge…
Ah ouais, je vois… Ben… Heuuu…

- 1000 euros.

- J’aime pas les Euros…

- Qu’aimez-vous donc alors ?

- J’aime les fererros !

- 1000 fererros. »

La transformation est ici purement pétrifiante cher lecteur. Enlève donc les bananes que tu as dans les oreilles et lâche cet exemplaire du canard enchaîné que tu es en train de lire et écoute.
Les yeux se mettent en amande, le sourire devient servile, une langue fourchue sort de sa bouche et pend mollement de la commissure droite de ses lèvres, répandant un filet de bave bleue dont les vapeurs ne sont pas sans rappeler celles de l’éther frelaté ; son dos se courbe, révélant ainsi une superbe bosse recouverte de furoncles que nous n’avions pas encore remarqués, et sa voix se fait plus obséquieuse…

« - Maître, pour 1000 fererros, je vous emmène jusqu’à la chocolaterie Willy Wonka, je vous promène au pays des rêves bleus, je peux même vous faire une petite fell…

- Merci ! C’est bon !! Nous nous contenterons d’être guidés mon brave… Allez, et sans traîner…

- Bien maître.

La créature se retourne, laisse choir un considérable pet, ricane, se gratte l’oigne, et entonne : « Paaaaaar ici les touristes !!! Direction, le refuge !!!!

Le lecteur se demandera donc quelle est donc cet étrange animal dont nous venons de faire la rencontre ?
La réponse n’est pas un Hobbit dégénéré, ce n’est pas un elfe déliquescent, ni un gnome, ni même un nain, ou encore un pet personnifié…
Il s’agit d’un lutin.
Oui, cette variété de créature fut magique il y a bien longtemps et tirait ses origines des Korigans, élevé dans une contrée fort éloignée d’Onternut et du mont de lmamebug nommée Loufland… Un soir au Loufland, deux Korigans, un mâle et une femelle sortirent d’un bar où ils avaient abusé de Mojito (sic) au mezcal et de schnaps de pastèque… Ils se roulèrent donc dans la boue qui subsistait de l’orage précédent. La fourrière des Loufcops les confondit avec des chiens errants (et oui, un Korigan bourré et vautré dans la boue ressemble à un chien errant). Ils les ramassèrent donc et les balancèrent dans un cours d’eau avoisinant qui, comme par hasard me direz-vous, aboutissait non loin des plaines d’Onternut, dans le county de Blaatt, qui était l’ancêtre de la partie lmaaaamm du mont lmambug avant les évènements sismobiologistiques susditement explicités.
Ces Korigans alcoolos, isolés ne purent que tenter de reproduire l’espèce et, la consanguinité aidant (oui, ils ont bien assayé de se faire des lapins et des furets, mais ça fécondait pas bien…), une nouvelle espèce survint : le lutin.

Mais trêve de conjectures biomorphologiques et d’analyse d’arbre généalogique (bien que de nombreuses personnes prétendent que l’ancêtre des lutins, le mâle Korigan n’est autre que l’infâme Pâlm Spirith Premier célèbre pour son alcoolisme notoire et ses balbutiements injurieux à l’adresse des infirmiers du SAMU venus le relever de son éthylisme méridional (fan de Pastis)), passons aux choses sérieuses.

Bref donc, laissons prendre une certaine avance à notre guide afin de protéger nos narines délicates du relent pestilentiel qui émane de son entrejambe et de son fondement et suivons-le progressivement à travers plaines et vallées…

Prochain épisode, l’arrivée vers le Refuge !!!! Sponsorisée par les Cigare roule-toi-là ! les établissement K-Viste : fondations et terrassements de montagne.
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Mar Juil 26, 2011 8:12
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Mer Juil 27, 2011 8:50
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Bon, même si je n'ai de succès qu'auprès du VA, ses compliment me vont droit au but (hein? On dit pas ça? Ben j'fais c'que j'veux d'abord) donc je continue, et pis j'dois bien vous avouer que moi auss j'joue l'jeu: j'regarde ça au fourrure et à mâsure, et j'me trouve rétroperspectiv'ment génial. Enfin j'veux dire sublime.


Résumé des épisodes précédents :

Le préambule correct de ce chapitre ne devrait être qu’un copié-collé de l’introduction, étant donné, que nous ne sommes pas plus rentré dans les détails que précédemment. Nous simplement fait la connaissance de notre guide, et présenté la race des lutins, en dépit de la forte odeur fécale et maritime qui émanait de sa personne.
Nous sommes présentement en pleine randonnée pédestre (non, non, ce n’est pas une version peu populaire de l’homosexualité, mais bien le fait de marcher sur ses deux pieds, en en mettant un devant l’autre et en recommençant inlassablement), et pour tout vous avouer chers lecteurs qui n’êtes que de vils êtres lâchement avachis dans vos fauteuils club devant un feu de cheminée en train de lire ce fabuleux mais néanmoins très bon marché ouvrage de haute littérature venu du fond de la basse cour de mon beau-frère. Vous devriez être là, en train de marcher avec nous, sentant les chaussettes se tortillonner au fond des mauvaises chaussures de randonnée, et les ampoules ouvertes se former, le pus commençant délicatement à sourdre, à humidifier les chaussettes et à coller la plaie au tissu… Mais passons outre ces considérations bassement matérielles, et venons-en au fait, il est temps pour nous de retourner sur le mont lmamebug et de constater ce qui se trouve autour de nous.

Chapitre Second :
Où il est question de la fin de la randonnée, qui fut difficile, peuplée de créatures étranges, de vils monstres et de marmottes continuant à sodomiser les truites, d’un air absent, je tiens à le rappeler.
Où il est également question de l’arrivée vers le refuge, de la description architecturale extérieure de l’établissement, et de la visite des lieux, ce qui constituera le chant du cygne de ce récit (cygne est un peu présomptueux, tu ne crois pas ? ; ben nan ! on pourrait plutôt parler de canard boiteux… ; ah non !! ; pigeon déplumé alors ? ; bon d’accord), chant du pigeon déplumé donc de ce récit, qui se terminera à priori lamentablement, sur une fin des plus plates et désolantes (ctrl S, rien à voir), l’auteur n’ayant aucun don pour les fins, ni pour les débuts, ni pour les milieux. N’a-t-il donc aucun talent alors me direz-vous ? Si, il boit du Ricard en écrivant, et il fait très bien le Ricard, du moins les trois premiers…

Nous quittons peu à peu les pentes douces et verdoyantes du début de notre randonnée et abordons des contrées minérales, granitiques (donc minérales), rocheuses (donc minérales) et félines (donc minet râle). La faune se raréfie, pour ne plus se constituer que de petites chauves-souris blanches, albinos qui tente avidement de nous piquer la bouteille de pastaga cachée dans le sac à dos de votre serviteur (dont le penchant pour l’anis alcoolisé est décrit plus haut).

Notre guide, et néanmoins vicieux cabriole devant nous dans les anfractuosités de la roche. Lorsqu’il a l’occasion d’attraper une chauve-souris, on peut l’entendre pousser des cris d’orfraie dont monica Selles elle-même serait admirative.

Après plusieurs heures de randonnée désespérée, se demandant si ce sale con de lutin à la merde n’est pas en train de nous balader, nous retrouvons tel un miracle tombé des cieux, au sortir d’un col escarpé, un plateau (de trois mages, Laurent, si tu nous lis…) verdoyant, une prairie d’altitude dont les herbes hautes, aussi touffues que le pubis de Démis Roussos, mais beaucoup plus verdoyantes ondulent au gré du vent espiègles qui se déverse s le long de ce joli plateau (repas). Sur la fin du petit plateau (télé) une légère colline recouverte de la même herbe que ci-dessus herboie et verdoie aux lueurs de ce joli soleil automnal. On aurait presque l’impression d’entrer dans un tableau de Bill Gates, si célèbre pour ses fonds d’écrans standard…

Le lutin, dont le nom n’est autre que Putaind’bordeld’merd’chier’couynichonpoil Fémal, (nous l’avons appris alors qu’il tombait pour la énième fois d’un escarpement rocheux en essayant d’attraper une chauve-souris blanche un peu plus grosses que les autres) s’immobilise, contemple le haut de la colline, remonte son pantalon, se gratte une testicule, rote, crache et s’exclame

Bon ben v’la les gars !! On y est ! Par ici la monnaie siouplaît !!!

Sans aucun problème mon brave ! Vous comprendrez aisément qu’il nous était bien trop fastidieux de transporter un millier de ces choses cacaotées dont vous êtes si friand, n’est-ce pas ?

Hein ?

Oui, c’est trop lourd !! Votre paiement est donc dans la vallée.

Hein ?

La bouffe est en bas !

P**** de **** de **** zefzefzefzarmgl,aoernb ioré ¨BUN^boinzrftg nbkôq boiazuerbv^é&u n(b$^àoinoti vqd ^)én’g($bn,*rlvqesvc4ze5fzefùfzùefz758zef,klzuvbuiaepr^v$²05

Restez poli, je vous prie !

Sur ces imprécations incompréhensibles, notre facétieux compagnon s’enfuit chantant une chanson de sa langue, dont les paroles semblent être d’origine guerrière…

Nous avançons sur le plateau (de chez flunch), montons la colline, emplis d’un ravissement certain, à la vue de toute cette étendue si verte et si pleine de verdure. Arrivés en haut du léger valonnement (pr…t !), nos jambes refusent d’aller plus loin. Nos yeux s’écarquillent, notre mâchoire tombe, nos bras pendent, notre respiration se bloque…

Sharon Stone, totalement nue, se prélasse sur une plage de sable mouillé, laissant sa poitrine magnifique se couvrir de grains de sable…

VLAM !!!!

Ah merde, on s’est gouré de studio les gars, faut retourner à la porte 32, là, c’était pas le bon endroit

Heu on peut pas rester un peu chef ?

Nan !

Bon ok

Je reprends :

Arrivés en haut du léger valonnement (pr…t !), nos jambes refusent d’aller plus loin. Nos yeux s’écarquillent, notre mâchoire tombe, nos bras pendent, notre respiration se bloque, disais-je, et nous découvrons un point de vue extraordinaire sur toute une chaîne de montagnes enneigées. Les couleurs de l’après midi se reflètent sur les cimes, le ciel est d’un bleu si pur et si profond, qu’on le croirait chié par un schtroumpf… Au premier plan, une grande bâtisse est là, posée sur le plateau (bon t’arrête de spécifier le plateau, because j’ai plus rien moi…).
D’une architecture inconnue, nous apercevons des tourelles, des morceaux de fenêtres, des terrasses, des jardins intérieurs et mille autres fantaisies semblant tout droit sorties des élucubrations floues de jeunes utilisateurs d’Internet en mal de fantasme architectural…

D’un pas décidé, nous nous dirigeons vers la porte d’entrée, nous frappons, et une voix sérieuse, un tantinet austère, nous propose de se prendre par la main, de tourner la poignée et de rentrer…

L’intérieur semble droit sorti des années pop, avec une décoration semblant très particulière. On a l’impression que le décor est sans cesse changeant, en perpétuel mouvement, ce qui tout bien considéré est le cas. La voix nous explique qu’il ne faut pas trop regarder les lurs au début, étant donné qu’on a vite le mal de mer…

Au bout d’un couloir, nous trouvons une porte. Noire, avec des montants et une poignée en cristal, nous hésitons à entrer… La voix poursuit qu’elle ne va pas attendre 107 ans et qu’il faudrait peut-être qu’on se décide à entrer… Nous posons donc la main sur la poignée, actionnons le mécanisme et pénétrons dans une pièce.

Que la lumière soit !

Et la lumière fut…

La pièce est vide, de tout. Nous ne distinguons aucun murs, rien, tout est parfaitement blanc. Tout n’est que Lumière, luminosité et éclairage… Un homme s’avance vers nous. D’aspect normal, quoique pas très bien rasé, il se campe devant nous.

« Bienvenue dans la matrice. »

« Hein ? »

« Nan, rien, en fait j’avais toujours rêvé de dire ça »

D’un claquement de doigts, le décor de la pièce se matérialise soudain autour de nous dans un grand bruit de pet foireux. Une pièce ridiculement kitsch, avec des nains de jardins illuminés, un arbre de noël «électroluminescent, des appareils électroniques de toutes sortes posés, entassés tout autour de la pièce, tous étant reliés par un fil à une gigantesque unité centrale, par le truchement d’un hub aux proportions gargantuesques.

« Bienvenue au Refuge ! Je suis lmame, le grand maître des lieux »

Nous nous trouvons donc devant le tortuegénial, le Georgebush, le grand schtroumpf des lieux. Celui dont le nom résonne avec fracas dans toutes les contrées comme étant celui d’un prohète, instigateur d’un nouvel ordre, d’une nouvelle culture et d’une nouvelle façon de bouffer des trucs bizarres… Il a effectivement l’air normal, si ce n’est qu’il est sans cesse en train de tripoter un gadget électronique. Il nous prend trente fois en photo et, dans un silence concentré, méditatif, procède au rituel de ce qu’il appelle le « postagesurleRefuge »…

Respectant notre hôte, nous attendons qu’il ait fini avant de lui soumettre une requête ainsi formulée :

« Ô toi, grand maître du mont lmamebug, toi grand prophète du refuge, toi qui as inventé la terre, le ciel et les murs de ce Refuge, pourrais-t, dans ta grande mansuétude nous permettre de parcourir les longs et magnifiques chemins qui sillonnent ce chef d’œuvre de magie qu’est ton immense et honorable Refuge ? »

Réfléchissant un instant, il semble consulter avec attention un autre appareil électronique qui émet un bourdonnement étrange. Il marmonne : « oh merde, c’est encore ces gros cons de la hotline » puis semble se reprendre

« oui étrangers, vous pouvez visiter les lieux, vous avez une semaine. Si vous n’êtes pas sortis d’ici là, je vous considérerai comme habitant de ce refuge. » « allô ? Oui, y a le SMTUP de la RSCTR qui marche pas dans le code HTML. J’ai vérifié la carte TCHSCCP, y a un problème de RAM, je suis à peu près persuadé que c’est le ventilo du processeur binoculaire à rétropédalage invertébré qui merdoie »

D’un geste, il nous signifie congé, nous sortons.

Nous faisons face à un panneau mural nous informons de la composition des lieux et de ses habitants. Prudents, nous nous empressons d’y jeter un œil avide d’information afin de ne pas commettre d’impair, ni de risquer notre santé. Voici donc ce que nous y trouvons. Cela a visiblement été écrit par l’un des membres les plus prolixes de ce lieu, dont l’écriture est si bonne qu’il ne peut s’agir d’autre chose que d’un demi Dieu, dont la beauté n’a d’égale que l’intelligence… Voici donc. Vous remarquerez que certaines expressions appartiennent à un langage qui nous est inconnu, aussi in glossaire se présente-t-il à la fin de cet ouvrage…
Donc sois le bienvenu au refuge.

Tu pénètre (ça c'est pour faire une bonne transition avec un autre truc dans un paragraphe sus-nommé, mais très suce, un peu moins nommé) dans les pièces mystérieuses du refuge. Elles peuvent peut-être te sembler un peu touffues, voire à la limite de l'incompréhensible. Aussi, en bon caviste second et ambassadeur es médiocrité de cet endroit merveilleux, vais-je t'en expliquer un peu l'organisation.

Le refuge est un lieu dont la création est expliquée dans l'atelier des arts au cours d’un récit de haut vol et de grande qualité (fallait bien que je me rendre la pareille). C’est un lieu de détente, qui n'est que légèrement palmiste (*), puisqu'on y trouve des informations utiles, plein de bonnes choses de palmeurs (*), mais aussi de ppc(*), de Clié(*) et autres conneries toutes plus geek (*) les unes que les autres.
Celà dit et cependant, la vaste majorité (que dis-je) la quasi totalité du contenu de ces pièces n'est composé d'autre chose que le trop plein de créativité, de farfeluserie, de bizarrescations, d'étrangeationnades echangées entre les plus fous et les moins fous qui habitent ces lieux...

Tu trouveras plusieurs clans, tous en coexistence plus ou moins pacifique :

Les Biouty (le caviste que je suis est galant, il fait toujours passer les femme devant, surtout s'il a une chance de pouvoir lui reluquer les fesses nheuheu!!), sont une sorte de communauté d’êtres dont le QI n’avoisine que rarement le chiffre de la température anale. C’est d’ailleurs ce qui fait tenir la communauté, l’un ne pouvant se rendre compte de l’état intellectuel de l’autre…
Cela dit, doués (il y a aussi des garçons dans ce groupe) pour la couture, la beauté capillaire et les discussions sans fin, elles ont créé un espace ravissant à la surface du Refuge : la terrasse, lieu de leurs ébats, de leurs jeux de cartes (mais j’comprends pas, j’arrive pas à jouer les bonnes cartes… Eh ben retourne les tu verras la carte que tu joue ! Ah ouais… ! Chuis conne !!)
Elles ont, contrairement à a description que je viens d’en faire une propension aux actes belliqueux pouvant avoisiner la barbarie la plus totale lorsqu’à l’instar de mes propos ci dessus, elles sont les victimes des sarcasmes d’un caviste puant et rotant l’ail (mais j’y viens, un peu de patience mesdames ! ). Leur arsenal est donc particulièrement bien achalandé, ont y trouve pelle-mêle (oui, j’ai mis pelle comme pelle et pas comme pèle, parce que raconter, ça creuse ! )des mines antipersonnel, des grenades lacrymogènes, des chars d’assaut, des missiles shrike (nan, pas shrek, celui là, c’est le scud, ais y en a aussi, plutôt chez les cavistes), des pistolets et autres mitraillettes UZI à fort calibre ainsi que d’autres armes à feu (et à sang).
Donc si l’envie te prend un jour de leur expliquer les gravures, prends de la distance avant !!

Les cavistes : ayant un peu plus haut été un tantinet virulent, je me dois à mon tour de porter un regard critique et pour se faire, de me mettre à la place d’une biouty :

Zlkjehfiozueiuybviuezfbvoijpihjozierhgf

Nan, ce serait pas bon pour le récit, trop dur à lire…

Donc je reprends mon rôle de caviste distingué. Cette confrérie, hautement classieuse, représentant l’élite du Refuge, est allègrement composée des êtres les plus fangeux, les plus vils et les plus sales qui soient dans le triste monde de lmamebug… Les cavistes, à diverses époques sont venus de plusieurs endroits divers comme les marais de Toolhoüz (dont l’un d’entre eux, se dénommant caviste surdoué est originaire), la région pâhri-zhïeñ, les alentours des marécages de bhör-d’hô, ou encore Pâ-rhi-in-tramhü-Rhos, ou enfin du bhaä-R-în et du hôô-R-în, provinces voisines l’une de l’autre. L’un des membres les plus éloignés provient d’une autre contrée, le fameux et non-moins triste Braizh-île, contrée connue pour sa gastronomie.

Cette communauté, donc, est composée de drôle de zozos, si je puis m’exprimer ainsi et si vous me passez l’expression (merci, je peux avoir le pain aussi siouplaît ?… Et du sel… Merci…). L’habitat de la communauté caviste se trouve donc dans les sous-sols du Refuge. Le mont lmameBug étant un sol rocheux, empli de minerai rare et précieux, les cavistes se sont empressés dans leur vanité mercantile et vénale de forer les profondeurs du refuge. En conséquence, ce qui, vu de l’extérieur paraît en fait un petit chalet fait de bois, de pierres z’et de plumes, est en fait une habitation de plusieurs centaines de mètres de profondeur. L’argent collecté par la vente des métaux précieux leur a permis d’équiper leurs immenses cellules du concentré des dernières technologies high tech ouaneugaineu-bistouflaille. S’y rendre n’est pas difficile, il suffit de se jeter dans le vide-ordures. Remonter est un peu plus dur, mais lorsqu’un caviste pète, on trouve toujours un moyen, mais j’y viens, j’y viens.
Lors de leurs fouilles sombres profondes et scatologiques, les cavistes ont découvert une race à part, des êtres serviles et vénaux qui n’ont en tête qu’une seule denrée alimentaire, dont je suis incapable d’écrire le nom. Il s’agit de confiseries chocolatées inventées par un peuple qui fut en son temps composé de Goths, d’Ostrogoths, et de wisigoths.
Les lutins, c’est ainsi qu’on les dénomme, sont au service des cavistes. Tu en as peut-être croisé au cours de ta longue randonnée qui a mené tés pas fourbus jusqu’ici.

Les cellules sont sales, puantes, très souvent débordant de substances étranges telles que la vase, le slime, la bave ou encore la pisse.

Le caractère du caviste est assez particulier et mérite que l’on s’attarde dessus. D’un naturel ripailleur et bon vivant, il est d’humeur assez changeante. D’une rare susceptibilité, il est capable de passer de la plus complète jovialité à la mauvaise humeur et la mauvaise foi la plus inique.
Le caviste mange, boit, rote et pète. Il aime les blagues grasses, vaseuses, à tendance scatologiques et sexuelles perverses. En témoigne celle-ci : « c’est deux putes et deux pédés, » de l’effaceur blanchâtre recouvre cette partie du texte
Elle est bonne nan ? Enfin bref. D’un naturel accueillant, le caviste aime à augmenter sa tribu par tous les moyens possibles. C’est ainsi qu’il n’utilise son cerveau lui aussi atrophié par les limbes de l’alcool et le manque d’occupations saines et vivifiantes, que pour faire de la propagande pro-caviste, ayant pour but d’attirer l’ensemble des nouveaux arrivants. Toi qui lis ça, tu devrais d’ailleurs venir faire un tour à la cave en premier, il faut que je te parle d’un truc très important.

Les Débris : cette frange de la population du refuge fait partie des éléments les plus précieux, parce qu’en voie de disparition. Trop faibles pour avoir un comportement belliqueux à l’instar des deux catégories ci-dessus, trop vieux pour se reproduire convenablement, trop affaiblis par le désœuvrement, ces éléments constituent une population déambulant en déambulatoires, rampant en rampatoires, et tremblant en tremnblateurs.
Assis sur un banc, ou dans un fauteuil, ils se contentent d’observer d’un œil torve les frasques et les péripéties des deux autres confréries en échangeant des commentaires le plus souvent dénués de toute bonté, mais dénotant d’une certaine capacité intellectuelle. Care c’est le seul élément distinctif des débris : ils ont une certaine forme d’intelligence, leur permettant d’attirer à eux de temps à autres un caviste ou une biouty afin de leur soutirer quelques nourriture, ou quelques palpations de fesses rondes et charnues (ah oui, c’est des vicieux, j’allais oublier… ). Ils fréquentent souvent la terrasse et le bord de la piscine des bioutys en été, car ils aiment à les mater en string tandis qu’elles se font bronzer… En Août 2006, l’un d’entre eux à fait montre de son intelligence supérieure en tenant ces propos :
« tu as remarqué comme on change en vieillissant ? «
« Non… »
« A 20 ans, j’avais la bite dure comme du béton »
« ah oui ? »
« ouais, et à 40 ans j’avais la bite dure comme du ciment »
« mouais »
« à 50 ans, j’avais la bite dure comme du caoutchouc »
« ah ! »
« maintenant, j’ai la bite toute molle »
« c’est fou ça ! »
« ouais, c’est dingue ce qu’on prend comme force dans le poignet en vieillissant »

Voilà, aimable visiteur, j’espère que tu auras ainsi une vision pleine et entière des populations qui peuplent notre Refuge, et que tu ne feras pas la connerie d’insulter une biouty, de retirer son verre d’alcool à un caviste (ou de nettoyer sa cellule), et surtout, de ne pas t’interposer entre une biouty en string et un débris en contemplation.

Sur ce bonne visite, faut que j’aille chier.

Supermat, caviste surdoué ! Et comme le dit ma grand-mère, c’est en potant qu’on devient potiron

Cher lecteur, nous reprenons le fil du récit, après ces quelques descriptions, pour vous notifier que le prochain chapitre traitera majoritairement des personnages de ce refuge tentant d’en extraire une vision objective.

Cher lecteur, tu peux maintenant retourner à tes occupations quotidiennes quelles qu’elles soient.


Glossaire :

Biouty, surnoms : biouty, bioutaillze, bioutifoules, les blondasses, les dindes (mais bon, ça c’est entre caviste), ces dames (et pas saddam, mais pas loin)

Caviste, surnoms : caveux, crade, dégueu, baveuserie, immondice, saloperie, vicelard, beurk etc.

Débris, surnoms : vieux, vieille (quoiqu’on ne trouve pas de femelle débris), croulant, vieille carne etc.

Geek : Elément électronique, tenant très fort du gadget. Issu d’une technologie de pointe, le Geek est l’illustration de l’inutile dans sa plus grande splendeur, ayant nécessité environ trois ans de développement. Geek est aussi utilisé pour l’utilisateur de ces technologies ineptes.

Palmiste : Synonyme, palmeur . Adepte et utilisateur d’un Palm.

Palm : Synonyme : ppc, Clié, etc. Objet électronique concentrant des données telles que l’emploi du temps, les emails, les contacts et plein de photos à la con, que tu sais pas quoi en faire, mais que tu les garde quand même dessus, vu que tu sais pas où les foutre. C’est aussi une annexe de ton cerveau. Comme le préconise l'étique de sa position, le grand chef "Modo" se montre peu au grand jour ! Il agit dans la discrétion ...
Nous n'avons donc actuellement que peu d'images le concernant...
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C'est en potant qu'on devient potiron

Et pour ceusses qu'y z'ont pas de favoris sur leurs nordis... http://momatt.free.fr

 
 
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La description de chaque communautés est trop énorme Laughing Laughing Laughing
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Même ceux échoués par hasard en ayant recherchés la recette des nouilles au beurre !
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Chapitre Troisième

Résumé des épisodes précédents : Après une bien longue randonnée pédestre (mais pas du tout homosexuelle, nous arrivâmes dans les parages du refuge, grâce au savoir montagnesque d’une créature étrange et mal t’odorante. Pénétrant en ces lieux (avec volupté… J’ai volupté, mais j’ai chié dans mon froc…), nous fîmes la rencontre inoubliable du prince de sang, du monarque régnant en ces lieux, qui nous fit le suprême honneur de ne pas nous congédier céans, mais de nous orienter vers une entrée et un plat principal en matières des habitants du refuge. Maintenant parfaitement érudit sur l’ethno-composition de notre Refuge mythique, nous porrons y entrer sans vergogne, mais peut être après un coup de bourgogne (ça rimait, c’est juste pour ça…)

CTRL Sfallait bien sauvegarder…


Chapitre III (donc)

Où il est fortement question de la visite du refuge, de la rencontre du dernier type avec les membres de cette illustre communauté, de leur présentation et de la fin finale de ce récit, à moins que osn auteur déjà passablement éméché n’ait une subite poussée d’aérophagie mentale qui provoquerait une nouvelle Diarrhée verbale et écrite, menant à l’écriture d’un appendice pouvant éventuellement relever de la généalogie des membres du refuge, ou de la transcription du langage réfugien en phrasé humain terrestre par exemple

Ainsi donc s’achève cette Pierre de rosette du Refuge. Nous en sommes considérablement enrichis de connaissances fabuleuses quant à la population qui peuple (si si) ce lieu mythique…

Forts de cette nouvelle connaissance, nous nous examinons la pièce dans laquelle nous nous trouvons. Il s’agit d’une petite pièce, mais qui semble assez centrale dans le refuge… Petite et plutôt sombre, ses murs sont recouverts d’une moquette épaisse dont la couleur et la texture varient selon le mur. Sur certains murs, on peut observer un certain nombre de reliefs qui ne sont pas sans évoquer pour certains, certains paysages de désolation gastrique par temps de gastro…

Au sol, un épais lino de couleur vert pomme semble patiné par les évènements… Quelques traces d’autochenille, de char d’assaut nous laissent un tantinet perplexe.

Nous passons donc en revu les murs d’un peu plus près, ne voulant s’aventurer dans ce lieu qu’a bon escient, tentant d’éviter autant que faire se peut les dangers et autres risques mortels qui peuplent céans…

Le mur Ouest est Rose vif, rose épais même. Dans nos contrées de journalistes observateurs, si vous me permettez la digression, on trouve une pièce de théâtre de haute volée, de grand goût et de bonne facture : Samantha ! C’est l’histoire d’une jeune femme dont le QI avoisine le chiffre de la température rectale d’un lézard vert en période d’hibernation, qui n’a de cesse que de se rendre plus ridicule qu’un maréchal des logis qui essaie de lire Kant en public. Elle accumule les frasques les plus effrayantes, elle frôle la mort tous les jours par inadvertance, bref, on le verra, c’est l’ambassadrice, la mascotte des lieux se tenant derrière ce mur rose fuschia. Ce rose flash est tapissé sur le mur façon moumoute, peluche kitsch, toison laineuse rose vif…
La porte semble tout droit sortie d’une boîte de polly pocket qui serait passée au micro ondes… Torsadée, rococo, compliquée au possible, il ne manque qu’une poignée, représentée par un petit poney enfoncée dans le trou de serrure. Sur la porte, une inscription étrange accueille les visiteurs : Beautifuls. Il est difficile de se représenter toute la conceptualité du mot devant une telle porte. Mais soyons courageux, ouvrons donc ce passage vers les beautifuls, dont nous avons quelques notions à présent à grâce à ce tableau de présentation ci-dessus. Pour ceux qu’ont pas lu, s’adresser à l’administration de la maison.

La porte s’ouvre, les gonds laissent échapper un soupir, puis un gloussement dindoyant…

Nous pénétrons dans une magnifique pièce, lumineuse, spacieuse, aérée. L’air y est pur, léger… Les couleurs dominantes sont le vert amande, le bois clair et le cuir fauve. Ca et là, une incrustation de mica rose vif, une étagère baroque repeint en vert kaki, un cadre en peluche violet viennent rehausser l’éclat de la pièce. Au sol, nous remarquons un revêtement étrange… On dirait… des dalles de carrelage posées à l’envers. Oui, c’est bien ça, c’est du carrelage posé à l’envers. Quelle merveille d’innovation décoratrice !!

De grands sofas en skaï rose tapissés de coussins mauves et verts nous tendent des bras recouverts de toison laineuse. Les tables basses sont en fait des vanity cases barbie assemblés les un aux autres par un ingénieux procédé d’élastiques à cheveux et de bas/gaines
Une douce musique, que l’on dirait métissée de Georges Michael et de Robbie Williams sur une musique des Backstreet boys accompagnés par semble-t-il Chantal Goya vient caresser nos oreilles émerveillées… Tout inspire ici ravissement, calme, luxe et volupté kitsch…

Un doux et léger bruit de bris de verre suivi d’une bordée de jurons tendrement proférés nous parvient à travers le voile musical. Un bruit léger de pas se rapproche d’une baie vitrée impeccablement nettoyée. Nous apercevons alors le premier habitant du refuge qui se porte à nos yeux éberlués. Il s’agit d’un jeune garçon au teint rose et sémillant. Sa calvitie partiellement cachée par un magnifique postiche de cheveux longs et blonds, son visage révèle le bonheur le plus profond et la béatitude que seul les personnes ayant atteint le plus haut degré de la conscience spirituelle peuvent matérialiser… Nous apercevant, il presse le pas vers nous.

Habillé d’un joli pantalon moulant de satin rose, d’un petit T-shirt en résille noire, et de talons aiguilles, il s’approche de la baie vitrée, nous regardant avec ce magnifique sourire, si expressif de tout son rayonnement intérieur… et se prend la baie vitrée de plain fouet.
Chutant lourdement au sol, sa perruque vacille un instant avant de s’effondrer en une masse informe sur son épaule gauche d’où la tunique en résille à glissé laissant voir quelques sensuels poils brun/roux. Ses yeux roulent un instant dans leurs orbites, sa tête dodeline un moment. Sur son visage, une expression de doute intense se peint, l’affreuse incertitude de la nature profonde de l’existence se mêle avec l’angoisse immense provoquée par la matérialisation d’un élément invisible dans l’air pur de cette journée de printemps. Ces émotions ne durent qu’un temps. Très vite, la béatitude refait surface, le bonheur absolu renaît sur ces traits généreux, et pour bien illustrer le plaisir que ce magnifique être à de vivre, un fil de bave léger et scintillant glisse délicatement sur le menton de notre hôte.

Il se relève, d’un doigt scrutateur, constate la présence d’un corps étranger devant lui, mais néanmoins invisible, semble se souvenir de sa définition matérielle, et ouvre la baie vitrée en gloussant quelques injures blasphématoires.
Nous avisant de nouveau, son sourire s’élargit, révélant la perte récente d’une incisive délicate et parfumée.

« Bonjour les chéris !! Je sais pas qui vous êtes, mais je suis sûr que vous êtes pas cavistes les loulous ! vous êtes bien trop propres pour ça, hu hu hu !! »
« Heu bonjour, nous sommes des explorateurs venus visiter le refuge… »
« Ah ben ça tombe bien, j’avais de la vaisselle à faire ! je vais vous faire visiter la terrasse et nos salons de bioutys. Je me présente, je suis Caza, je fais partie des modos du groupe… Mon pseudo vient d’une vie antérieure où j’étais pilier de bar et ma boisson préférée était le Cazanis… Ca m’est resté Hu hu hu !!!!
Ca vous dit un petit tour du propriétaire ? »

Totalement abasourdis par la grâce et la délicatesse de notre hôte, nous observons une minute de silence, qui peut aussi saluer la mort de l’incisive sus mentionnée…

« Heuu, oui, pourquoi pas, merci !! »
« Super, alors suivez-moi !!! «
Se retournant derechef, il repasse la baie vitrée maintenant ouverte, se prend les pieds dans les rails et se lance en avant, dans une tentative gracieuse pour se relever. Quelques entrechats, rondades, ponctuées de douces mais néanmoins retentissantes imprécations fulminatoires, cet être de grâce termine sa course, sa danse, tout au bord d’une magnifique piscine au fond rose. Parvenant, dans le déséquilibre artistique qui illustre son état géométrique actuel, à se retourner, Caza nous adresse un charmant sourire et nous présente la « piscine des bioutys » avant de perdre le combat qui l’opposait à la gravité et de choir nonchalamment dans l’eau moirée.
Ressortant de l’onde, il ôte la perruque qui s’était introduite dans sa bouche, la repose sur son crane ou elle fait office d’anémone blonde, et déclame poétiquement :

« Voici la terrasse, haut lieu des bioutys, c’est le paradis du refuge !! Faites comme chez vous, il faut que j’aille me changer, je suis toute trempée ! »

Nous réalisons alors que nous nous trouvons sur la Terrasse que nous avions aperçue depuis l’extérieur en venant. Immense étendue, le sol est partagé entre la pelouse et le caillebotis de bois brut. Quelques transats, parasols et table de jardin design appellent à une pause prolongée à l’ombre de ces délicieux parasols aux couleurs du van de Scoubidoo…

Quelques silhouettes enchanteresses peuplent ces lieux… Nonchalamment alanguies sur les transats, elles profitent des quelques rayons de soleil, afin de faire bronzer leur épiderme délicat. Toutes en bikini, luisantes de crème solaire, leurs corps sculpturaux nous font perdre l’usage de la parole pendant un bref instant…

Une respiration lourde et sifflante vient nous distraire de la contemplation muette et béate de ces magnifiques naïades alanguies au soleil. Il s’agit de notre merveilleuse hôte/esse qui, venant de s’extraire de la piscine, s’est ruée dans une petite pièce du refuge appelée SpA (Sanitas per Anesthésium) et s’est visiblement changée des pieds à la tête. Maintenant dotée d’une chevelure dont les Anglaises affriolantes nous donnent le vertige, elle n’est plus habillée que d’un petit calicot en peau de crotale rose et d’une jolie jupette de tennis bleu roi. Ses collants à résille mettent en valeur les muscles fin dessinant de superbes courbes sur ses jambes fines et légèrement arquées… Quelques sublimes poils ont réussi à s’échapper de leur carcan de résille et s’épanouissent à l’ombre de la jupe de tennis… A ses pieds, comble de la délicatesse et du goût, nous observons de superbes Doc Martins vert manzana, dont les talons hauts sont fait de plastique transparent, merveille du design britannique.

« Coucou, c’est remoi ! bon alors les filles que vous voyez là, c’est des beautifuls. »
(en apparté) « Ouais, bon, si elles sont là, c’est que c’est pas des cavistes à une expo bovine huhuhuhu ! »
« Donc des beautifuls, qui sont beautifuls… Vous aimez ? Elles sont belles hein ?

Alors y a Catz la féline tigresse, Elle est pas là souvent, mais c’est une blonde sauvage…

JM qui aime à s’appeler le Joli Monstre,

Kinou, rapport au fait qu’elle trouve que les bioutys sont très belles : Elle dit tout le temps qui c’est qu’est belle ? C’est que nous ! Et comme elle le dit très vite, ça devient « c’est kinou » !!

Y a aussi Louroulou, qui est née d’un père colateur et d’une mère colombe de la paix. Du coup, elle est tout le temps entrain de faire des bruits qui oscillent entre le café qui coule et une colombe qui roucoule… Ca fait un peu louroulouroulouroulou… (et des fois, c’est un peu relourelourelou)

Y a MarieC, c’est celle que vous voyez là-bas, avec le bikini un peu tendu en haut… Ben oui, avec du 110 C, on sait pourquoi on l’appelle madame C…

Celle qui est magnifique là, toute bronzée, en train de siroter son daiquiri, c’est Croquette. Son pseudo à elle, il vient de quand elle était à l’école.
Un jour, elle est allée à une soirée de corpo. Y avaient des bidasse qui étaient là (ils sont mignons quand même ces militaires…) et ils ont commencé à faire les foufous… Et alors à un moment, y a Crapaud (oui, a l’époque, tout le monde l’appelait crapaud, j’vous raconterai une autre fois pourquoi… Donc Crapaud hurle : UN STRIP-TEASE LES BIDASSES !!! Et là, l’adjudant chef lui répond que c’est ça, et qu’elle avec sa tête de crapaud elle a qu’a manger des croquettes, et qu’elle peut toujours se brosser martine. Alors Crapaud elle s’est levée, et elle a enlevé son déguisement de thon en se brossant. Donc elle était à peu près comme maintenant, mais sans le daiquiri. Elle a attrapé un paquet de croquettes pour chiens, et elle a dit que le premier des militaires qui finissait la poche de ces délicieux bretzels aurait droit à un strip-tease en privé avec elle. Ils ont tous bouffé comme des ânes, et se sont tous retrouvés dans la chambre d’à côté avec elle… Nous on était resté dehors, on savait très bien ce qui allait se passer… On est rentré qu’après, pour décoller les morceaux des murs… Y avait des bouts de treillis, c’est ceux que vous avez vus dans la cabine de douche du hammam… Vous avez pas vu ? Ben oui, on a gardé que les morceaux de treillis, parce que les reste ça sent vite le chameau mort… Enfin, depuis, on l’appelle Croquette. De toutes façons, elle se déguise plus jamais en thon ou en morue…

Y a aussi Chrys16 que vous voyez au fond là-bas… Mignonne hein ? Eh ben vous m’croirez si vous voulez, mais y a pas deux ans, elle pesait 165 kilos. On l’appelait « 16 neuvièmes ». Elle a tout perdu, repris le sport et maintenant, c’est une super pépée. Ben oui, mais elle a voulu garer le 16 dans son pseudo, pour se rappeler de ne pas redevenir comme avant… Elle fait gaffe au poids, c’est grave… Elle a même monté un groupe Weight Watchers sur le refuge, vous y croyez vous ?

Voilà ! Ca, c’est le filles que vous voyez sur les transats…

Après, y a les bioutys d’adoption… Ceux qui aiment tellement le biouty spirit qu’ils ont rejoint le club en même temps qu’ils ont pris la carte du fan club international de Barbie et de Britney :

Y a Fred Crozat. Ben lui, c’était un militaire, le seul qu’en est ressorti vivant de l’épisode avec Croquette. Quand il vit les armes et les bombes qu’elle avait préparées, il creusa, creusa, crozat…

Y a aussi Hogs, mais bon lui il vient plus très souvent… Le seul souvenir qu’on ait de lui, c’est un drôle de gugusse qui passait son temps affalé sur un transat à faire des dessins sur sa palette graphique et à roter… Oui, il rotait beaucoup… On lui avait bien suggéré d’aller à la cave, mais il voulait rester ici à boire des daiquiris…
JM, pareil, il vient plus du tout, on le voit jamais, mais il paraît que c’est le fils de John Malkovitch (c’est pt’êt pour ça…)

Et pis y a Bern. Elle est pas très régulière sur la terrasse, mais je suis sûre qu’elle est avec nous dans son cœur rose de Biouty avec des froufrous dessus… »

Donc là, nous sommes fixés… Nous venons de faire connaissance avec les bioutys… Justement, Croquette et Chrys16 s’approchent de nous… Croquette, dans un minuscule bikini qui nous laisse totalement dépourvu de toute contenance, tremblants et confus, rouges d’émotion, la bouche sèche, et la langue pâteuse, et Chrys, magnifique, dans un petit maillot de bain échancré, peau de pêche, regard de braise…

« Salut les cocos ! qu’est-ce que vous faites là ? »
« On vient visiter le refuge pour les lecteurs de littératures et de biouty magazine »
« Vous êtes pas cavistes au moins ? »
« Pourquoi ? »
« Il est Caviste !! Les filles !!!! »

Là, de dessous les minuscules maillots de bains qui nous paraissaient si petits et si exigus que même le plus petit doigt mal ou bien intentionné n’aurait pu se glisser, surgit un attirail qui ferait blêmir Rambo VI et Terminator III.
Mitraillettes Uzis, glocks 38, grenades d’assaut, fusils à visée laser… D’une porte dérobée surgit en défonçant la porte un char Panzer division et un Superpuma armé de tomahawk IV survole en rase-motte la terrasse…

« Restez où vous êtes, ne pétez pas, ne rotez pas et ne tentez pas d’extraire de substance bactériologique de vos orifices corporels (naturels ou non) !!! »

« Mais on est pas cavistes !! »

« Prouvez-le ! »

« Ben, tout ce qu’on sait de la cave, c’est c’qui y a écrit dans le vestibule, là, c’est lmame qui nous à dit d’aller y voir avant de visiter… »

« Mouais, je suis sceptique… »

« Caza s’approche de nous, fait ouvrir la bouche à votre serviteur et renifle deux coups, avec circonspection et désinvolture. Ce faisant, elle se prend les pieds dans le tapis, prend une grande inspiration de surprise et se vautre, en toute finesse et délicatesse, bien sûr…
Elle se relève et déclare qu’à part de vieux relents de fondue savoyarde et de bière aigrelette, pas d’odeur de putréfaction apocalyptique aromatisée au chocolat.
L’attitude de ces dames change du tout au tout. L’hélico disparaît derrière les montagnes, les armes sont disparaissent on ne sait trop où, et les sourires de braise refont surface…

« Vous avez visité la cave ? »

« Pas encore »

« Alors vous resterez bien prendre un daiquiri, jolis messieurs et… Choses… »(ben oui, l’auteur parle à la troisième personne, mais ne sait toujours pas vraiment ce qui l’accompagne. C’est vous ? Ah ! Oups, pardon…) »

« Merci, sans façons, jamais pendant le service. »

« Nan, mais juste un petit, avec un massage… »

« vous seriez pas en train d’essayer de me corrompre avant que je descende à la cave vous ? »

[Prenant l’air innocent de la jeune vierge qui joue qu strip poker avec trois anciens condamnés à mort pour viol avec préméditation] « Mais pas du tout enfin voyons… »

Voyant que nous risquons d’être dévorés vivants, nous nous jetons en arrière, prenons nos jambes à notre cou, et faisons volte face vers la baie vitrée qui nous permit d’entrer précédemment. Ce faisant, nous apercevons un banc, tout contre le mur faisant face aux transats. Un vieux banc vert sombre, que l’on ne trouve plus que dans les squares qui n’ont pas été rénovés depuis les années 20 à Paris. Dessus se trouvent 5 personnages semblant pour certains dormir, pour d’autre trembloter, et enfin pour les derniers, se rincer copieusement les mirettes…

Constatant que ces dames n’ont pas daigné nous poursuivre, craignant pour l’intégrité de leurs ongles/brushings/souffle/couleurdesyeux, nous ralentissons le pas et nous dirigeons vers ce groupe insolite qui détone considérablement dans cet environnement paradisiaque…

Nous approchant de ce vieux banc, nous nous rendons compte que ces personnages sont en fait d’innocents vieillards, assis sur un banc en train de lentement réchauffer des os rendus douloureux par les fraîches soirées d’hivers et par la longue et intense vie qu’ils sont en train progressivement de laisser derrière eux…
Nous approchant encore, nous constatons que seuls deux d’entre eux sont véritablement vieux. Les autres sont grimés en personne du troisième âge de façon grossière, malhabile et contrefaite…

Nous apercevant, semblant sortir d’un long sommeil, le plus vieux d’entre eux nous adresse un petit clin d’œil malicieux et de sa voix chevrotante s’adresse à nous dans ces termes

« Salut les jeunes ! Quoique des jeunes il n’y en plus vraiment, j’me rappelle au temps de Peter Pan, au temps de la découverte des ferreros, au temps des commerciaux agressifs, c’était un autre monde, les gens savaient écrire, savaient penser… Enfin bref, salut les jeunes, quel bon vent vous amène par ici ? »
« Bonjour monsieur (oui, nous sommes respectueux pour les ieuvs), nous venons visiter le refuge et relater ce conte à de bien nombreux lecteurs afin qu’ils puissent savoir qu’il y a encore un lieu exotique dans ce monde et aussi en vue de nous faire un maximum de blé et de pouvoir se bourrer de saloperies devant la télé sans penser au lendemain… »
« Je vois, vous êtes la nouvelle génération de nouvelles têtes et de nouvelles mains qui écrivent sur un pécé ? »
« Oui monsieur »
« Et vous avez envie de rien foutre, de vous branler, de glander, de rester cool quoi ! »
« oui monsieur »
« Vous avez raison ! De mon temps, j’ai bien essayé de faire pareil que vous, de gagner du blé en mettant des mots sur le papier, hélas, les gens ne prenaient pas assez d’acide et de mariejuana pour pouvoir comprendre mon art, j’ai donc du me résoudre à me mettre au vert et à écrire des lignes de code, au lieu d’écrire des lignes de mots… enfin, heureusement que maintenant on est là, y a des superbeaux fessiers à regarder… »
« Ah donc vous êtes là pour vous rincer l’œil en regardant les bioutys ? »
« Oui mon p’tit !! »
« Donc vous devez être les débris !! »
« Oui mon p’tit !!! Moi, c’est HP, on m’appelle comme ça, parce qu’il y a longtemps, les anglais mesuraient la puissance de leurs voiture en Horse Power, et que perso, j’en ai sous le capot !! enfin, quand ça veut bien démarrer… mais d’autres personnes ont dit qu’HP, c’était pour Hors Proportions, ce qui me va tout aussi bien… »
« enchanté !! Et vos collègues à côté ? »

« Huh ? »
Le petit vieux d’à côté de Monsieur HP se réveille et nous regarde d’un air émerveillé
« z’êtes qui les mecs ? »
« c’est des visiteurs du refuge, y vont écrire sur nous » dit HP
« Ouais, vont encore dire des saloperies à tout bout de champ… »
« Mais non monsieur… »
« AntoinePierre, siouplaît, digne rejeton de Alexandre benoît Bérurier, mais je me cache derrière un pseudo plus modeste. Moi, ici, chuis pénard. J’mate les brésiliennes d’en face, je pitchtegorne à tout va, et j’aime bien ça ! »
Là-dessus, la tête de notre fameux compère bascule, et il retombe dans le sommeil

« Là, il était pas en forme… » nous dit HP

« Coucou les cocos !! »
Un drôle d’oiseau, à tête de labrador, sémillant et joyeux s’adresse à nous. Posé juste à côté de Antoinepiere, de loin, on l’avait pris pour un vieux à cause de sa tête de chien qui parle…
« Moi, c’est s@turnin, s@t pour les intimes… En fait, je suis un peu de tout dans ce refuge… Un peu biouty, un peu débris, et un peu caviste. J’ai pris débris, parce que comme ça je peux être dégueu comme un caviste, tout le monde mettra ça sur le compte de la vieillesse, je peux être con comme une biouty, tout le monde mettra ça sur le compte de la sénilité, et je peux être débris, parce que je suis un débris… En gros, j’ai trouvé la planque quoi… »

« … »
« Ben quoi, vous dites rien… »
« … » Là, l’auteur est à court de répartie, de même que l’acteur. Ah si, tiens.
« Et vous avez pas honte de profiter du système ? »
« Nan. »
« … »
« Toujours rien vous dites ? SLUUUURPPPP ! »
« Beurkkkk !!!! »
« Ah voilà, vous avez retrouvé la parole !! »

relativement dégoûtés, nous nous tournons vers le dernier membre de cette petite confrérie. Il s’agit d’un petit gnome déguisé en vieux. Nous nous approchons de son visage, situé relativement à ras du sol, vu sa taille, et remarquons tout de suite la fraîcheur et la jeunesse qui habitent ses yeux. Une fausse barbe en coton gris, de pseudos rides en latex collées sur le visage, c’est plutôt le visage d’un gamin que nous découvrons sous le maquillage…

« Ben ! Qu’est-ce que tu fais là toi ? T’es pas un peu jeune pour faire partie de ce club ? »
« En fait nan ! J’étais bien trop jeune pour rentrer dans le refuge déjà, alors en plus si j’allais chez les bioutys, c’était devenir blonde et décérébré mais beau et magnifique trop tôt (trop jeune pour voir pousser mes seins), et si j’allais chez les caviste, la morale aurait tout de suite réprouvé, et le CSA aurait foutu le bordel dans le refuge… Donc je me suis déguisé et j’ai rejoint le club des vieux. En même temps, c’est pas mal, j’ai pu besoin d’acheter des playboy et de les fourrer sous mon lit et me faire choper par ma mère, j’ai les bioutys devant moi toute la journée, en plus je peux me goinfrer de rouge »
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Et je m'aperçois avec une horreur non dissimulée que je n'avais rien écrit sur la cave... Ce récit est donc inachevé... Il va falloir que je m'occupe de ça au plus vite!
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